Vous occupez le poste de chargée de mission « Recherche et Innovation ». Quel a été votre parcours professionnel pour parvenir à ce poste aujourd’hui ?
Après un Master en Histoire des Relations Internationales à la Sorbonne et un second Master en Droit Européen à Nancy, j’ai suivi un cursus au Collège d’Europe. Puis j’ai effectué plusieurs stages au sein de la Commission Européenne et au sein du Bureau Alsace. Le Bureau Alsace était l’ancien bureau, avant la création du BEGE suite à la fusion des régions intervenue en 2016.
Expliquez-nous quelles sont vos missions. Pouvez-vous nous décrire une journée type au BEGE ?
En tant que chargée de projet « Recherche et Innovation », j’effectue de la veille concernant le programme Horizon 2020 et son successeur le programme Horizon Europe notamment, mais aussi sur d’autres programmes européens. J’apporte un soutien aux partenaires du BEGE et les tiens informés de l’actualité européenne notamment sur les possibilités de financement qui existent pour le montage de projet. Enfin, je participe à des réunions avec les partenaires du BEGE ou avec les membres des instances de l’UE.
L’UNISTRA est déjà membre de l’association. Que peut donc apporter le BEGE à une université comme l’URCA ? De quelle manière les chercheurs peuvent-ils bénéficier d’un appui du Bureau ?
Le BEGE permet d’accroître la visibilité de l’URCA à l’échelle européenne et donc d’augmenter la possibilité pour les chercheurs de mener des projets à l’échelle européenne. L’adhésion au BEGE permet donc aux chercheurs de s’insérer dans un réseau de recherche et d’innovation à l’échelle européenne.