Cet été, notre projet de mobilité hors Europe avec le Centre Régional de Formation des Personnels de l'Education de Thiès au Sénégal a été accepté par Erasmus Plus ! 🇸🇳 🇪🇺
💵 Une subvention de 125 000€ obtenue pour financer les différentes actions
⏳ Un projet de coopération internationale sur les trois prochaines années
🎯 Mise en place de formations communes, programmes de mobilité étudiante, mobilité d'enseignants et de BIATSS
International
Notre stratégie, nos formations et nos étudiants tournés vers le monde. Our Strategy, Training Program and Students Worldwide.
Mobilité Erasmus +
partenaires internationaux
mobilités sortantes (étudiants + personnels) en 2023/2024
mobilités entrantes en 2023/2024
Une cellule internationale dédiée composée de 6 personnes
Nos actions
Nos formations ont toutes une dimension internationale. Grâce à notre réseau de partenaires institutionnels, nous donnons l'opportunité à tous nos étudiants de partir effectuer un stage à l'étranger dans le cadre de leur formation de Licence ou de Master.
De plus, il est possible d'intégrer notre master MEEF 1er degré, parcours International sur le site de formation de Troyes, ouvert en 2022.
Celui-ci s’inscrit dans la politique générale de l’Inspé en matière d’internationalisation de son offre de formation.
Il permet de répondre à une demande des étudiants qui souhaitent se former pour enseigner à l’international. Le parcours MEEF 1er degré international est construit sur la base du master MEEF actuel, avec certaines particularités.
Les spécificités
Les étudiants suivent une partie des enseignements en anglais et doivent réaliser un mémoire de master en lien avec les problématiques de l’international.
La création de ce parcours favorise grandement les mobilités étudiantes sortantes mais également entrantes : le second semestre de ce parcours se déroule à 50% en anglais ce qui facilite l’accueil d’étudiants non-francophones à l’Inspé venant d’universités partenaires de l’Inspé.
40 places sont à pourvoir chaque année sur le site de formation de Troyes.
À partir de la L3.
3 semaines imposées en L3 PPPE.
Objectif : tous nos étudiant.es aient réalisé une mobilité durant son cursus de master.
Où sont partis nos étudiants durant l'année 2024/2025 ?
Envisageable en L3 et M1.
En 2023/24, sont partis en mobilité :
- 24 étudiants de licence 3
- 29 étudiants de master 1
- 11 étudiants de master 2
dont 10 en mobilité de semestre
En retour, nous avons accueilli plusieurs des étudiant.es en France (Canada, Roumanie, Turquie).
À partir de l'année 2024/2025, il sera possible d'étudier à l'université de Middle Georgia State (état de Georgie, est des États-Unis) durant tout un semestre.
Consultez la page dédiée à la formation
Le DIU n'est pas ouvert pour l'année 2023/2024.
Frédéric CASTEL - Directeur adjoint en charge des relations internationales
Sophie HOURDIN - Chargée de mission
David STERCKLEN - Secrétariat pédagogique
Jérémie BRIDE - Interculturalité, aire géographique Asie-Pacifique
Antoine BLANC - Chargé de communication
Programme de mobilité à l'étranger
Pour nos étudiants, partir en mobilité à l’étranger représente l’opportunité de bénéficier dans le cadre de son cursus universitaire, d’une immersion dans une autre culture, en étudiant de l’Université de Reims Champagne-Ardenne.
Cette mobilité encadrée par l’URCA et l’établissement d’accueil [1] de l’étudiant, permet aux étudiants de réaliser tout ou une partie de leur année d’étude dans une université partenaire tout en lui permettant d’obtenir son diplôme en France.
Notre équipe veille à offrir à chaque étudiant l'opportunité d'effectuer au moins une mobilité au cours de son cursus.
[1] Aujourd’hui, l'Inspé bénéficie de 13 accords avec des universitaires partenaires et l’URCA, 300.
Les partenariats avec d'autres établissements scolaires ou universitaires favorisent les mobilités étudiantes, et permettent d'assurer l'organisation et l'encadrement de l'étudiant.e.
Cependant, il est tout de même possible de trouver un stage dans un pays où l'Inspé ne possède pas de partenaire.
Témoignages
Peux-tu te présenter brièvement ?
Je m'appelle Coline O. J'ai 21 ans Je suis actuellement en 3ème année de licence sciences de l'éducation parcours EFI à Châlons-en-Champagne et je souhaite continuer un master MEEF 1er degré afin de devenir professeur des écoles.
Dans quelle ville et école as-tu réalisé ton stage ?
J'ai réalisé mon stage en Allemagne à Düsseldorf, au lycée français Simone Veil.
Quelle était la principale motivation derrière ta décision de partir en mobilité ?
Ma motivation était la découverte d'une nouvelle pédagogie, ainsi que l'expérience que cela allait m'apporter.
Peux-tu nous expliquer pourquoi tu as choisi ce pays comme lieu de stage ?
Pour être honnête, je souhaitais faire mon stage dans un pays plus nordique avec une pédagogie "à structure unique" donc dans des pays tels que la Finlande. Or, les écoles où j'ai fait ma demande ne prenaient aucun stagiaire sans partenariat avec l'établissement d'études. J'ai alors effectué des demandes dans des pays européens dans le but de découvrir autre chose sans spécialement d'attente particulière. Le système allemand - un pays frontalier et avec une organisation différente - s'est alors proposé à moi.
Quel était ton objectif professionnel pendant cette période de mobilité ?
Mon objectif professionnel était de découvrir le maximum de choses dont tous les niveaux. En effet, ayant un contrat AED, j'ai pu uniquement observer et participé aux apprentissage dans le cycle 1. Je voulais, alors, découvrir le cycle 2 et 3. De plus, avec ma camarade, nous avons effectué des sortes de lettres de correspondances afin de les transmettre à nos élèves en France. J'ai également pu enregistrer les élèves en allemand lors d'une séance. Cet enregistrement a permis de compléter ma séquence sur les animaux que j'ai effectué en France.
Quels sont les aspects les plus enrichissants (ou inattendus) de ton expérience à l'étranger ?
Les aspects les plus enrichissants pour moi sont : l'apprentissage de la langue et l'organisation de la journée. Effectivement, les élèves parlaient plusieurs langues (minimum 2). Les cours de langues se passaient avec des enseignants totalement bilingues, voire de la langue maternelle de la personne. Les cours étaient totalement dispensés dans la langue et des activités dès la maternelle étaient prévues. De plus, des groupes de niveaux permettaient aux élèves d'être plus à l'aise. Du côté de l'organisation, les cours commençaient à 8h et finissaient tôt, à 14h30, ce qui permet aux élèves de faire des activités ainsi que leurs devoirs. Pour les enseignants, cela leur permet de bien retravailler les cours du lendemain. Je trouve que cela permet de faire une vraie coupure.
Selon toi, quels bénéfices ce processus apporte-t-il à ta formation et à ta future carrière ?
Ce stage m'a permis d'avoir une autre approche de certaines choses telle que les langues comme énoncé précédemment. C'est quelque chose que j'espère pouvoir reproduire dans quelques années.
Quel conseil donnerais-tu à d'autres étudiants envisageant de partir en mobilité internationale ?
Mon conseil serait d'essayer dans tous les cas et de persévérer. Je pense que c'est grâce à cela que j'ai trouvé mon stage et je n'ai aucun regret.
Peux-tu te présenter brièvement ?
Je m’appelle Léane VERON, je suis en M1 MEEF 1er degré à l’Inspé de Reims afin de devenir professeur des écoles.
Dans quelle ville et école as-tu réalisé ton stage ?
J’ai effectué mon stage au Québec (Canada) dans la ville de Rouyn-Noranda en Abitibi-Témiscamingue. Plus précisément dans l’école Granada en première année (CP en France).
Quelle était la principale motivation derrière ta décision de partir en mobilité ?
Je suis motivée depuis ma licence à partir en mobilité afin de découvrir une autre pédagogie, d’autres manières d’enseigner et enrichir mon parcours de formation.
Peux-tu nous expliquer pourquoi tu as choisi ce pays comme lieu de stage ?
Le Québec (Canada) est un pays pionnier en pédagogie, beaucoup de nos cours à l’Inspé y font référence. C’est pourquoi il était indispensable pour moi de découvrir une école québécoise. De plus, le Québec est francophone, ce qui nous permet de comprendre plus facilement les élèves, les enseignants ou les habitants du pays.
Quels sont les aspects les plus enrichissants (ou inattendus) de ton expérience à l’étranger ?
Tout a été enrichissant pendant ce stage, mais le plus marquant a vraiment été la notion de pédagogie bienveillante, c’est une notion centrale dans l’enseignement Québécois qui m’a donnée envie d’enseigner de cette manière en France. De plus, la mobilité au Québec est un échange avec d’autres étudiants Québécois, cela a été un véritable plaisir de les rencontrer et de créer des liens.
Cela donne au voyage un aspect tout autre et les accueillir en France en retour a été formidable également.
Selon toi, quels bénéfices ce processus apporte-t-il à ta formation ?
Partir en mobilité apporte beaucoup, professionnellement et personnellement. Se retrouver devant une classe à l’étranger nous fait nous remettre en question et permet d’adopter d’autres façons d’enseigner que celles que nous avons l’habitude de découvrir en France. On apprend encore plus et le bagage professionnel avec lequel on revient n’est pas négligeable pour notre avenir professionnel.
Penses-tu que cette expérience aura un impact positif sur ta future carrière ?
Évidemment, toute expérience de stage en France ou à l’étranger à un impact positif sur une carrière. Nous savons ce que nous reproduirons dans de futures classes ou au contraire ce que nous éviterons, c’est tout aussi important.
Quels conseils donnerais-tu à d'autres étudiants envisageant de partir en mobilité internationale ?
C’est un engagement qui demande une certaine organisation mais partir durant le SOPA 3 n’engage que deux ou trois semaines de votre semestre, cela peut être un avantage pour ceux qui ne peuvent pas partir plus longtemps. En revanche, je repartirai demain avec grand plaisir. C’est une expérience qui ne s’oublie pas.
Peux-tu te présenter brièvement ?
Je m’appelle Quentin WAVRANT, je suis en L3 Sciences de l’éducation parcours pluridisciplinaire sur le site de formation de Châlons-en-Champagne au sein du campus Ilot des Savoirs. Je suis également responsable de l’association EDUC&CO.
Dans quelle ville et école as-tu réalisé ton stage ?
J’ai réalise mon stage en collaboration avec le Centre Régional de Formation des Personnels de l’Éducation dans la commune de Thiès au Sénégal dans 3 écoles différentes : L’école élémentaire d’application EL HADJ AMADOU MAKHTAR THIAM, L’école maternelle d’application Yacine BOUBOU, et l’école française en AEFE Dr René GUILLET.
Quelle était la principale motivation derrière ta décision de partir en mobilité ?
Ma principale motivation était de pouvoir découvrir un autre système éducatif.
Peux-tu nous expliquer pourquoi tu as choisi ce pays comme lieu de stage ?
J'ai choisi ce pays car pour ma formation il me semblait important de découvrir un système éducatif issue d'un pays d'Afrique Subsaharienne, en l'occurence le Sénégal, qui a la réputation d'avoir l'un des systèmes éducatifs le plus performant de cette zone
Quel était ton objectif professionnel pendant cette période de mobilité ?
Mon objectif professionnel était principalement de l’observation afin de revenir, ici avec de nouvelles méthodes d’enseignement.
Quels sont les aspects les plus enrichissants (ou inattendus) de ton expérience à l’étranger ?
Plusieurs aspects ont été inattendus et enrichissants :
- Ils ont quasiment le même système scolaire que nous.
- Les classes sont composés en moyenne de 70 élèves en élémentaire, qui ont tous un bon niveau, il ne faut pas oublier à titre de comparaison avec la France, que là-bas l’école n’est pas inclusive (aucun élève en grande difficulté), et que ce sont les élèves qui s’accrochent.
Selon toi, quels bénéfices ce processus apporte-t-il à ta formation ?
Ce processus m’a montré qu’il était possible de faire classe à 70 élèves, et qu’ils savent être patients, attendre…
Penses-tu que cette expérience aura un impact positif sur ta future carrière ?
Je pense que cette expérience aura un impact positif car cette expérience est inoubliable, en ayant vécu dans les familles, et en plus la durée de ce stage. (3 semaines). Et je ne pourrais pas oublier nous plus ces méthodes d’apprentissages. Et en plus ce voyage est rempli d’anecdotes.
Quels conseils donnerais-tu à d'autres étudiants envisageant de partir en mobilité internationale ?
Le conseil que je donnerais c’est qu’il ne faut pas hésiter et réaliser cette expérience unique qu’est la mobilité.
Peux-tu te présenter brièvement (nom, parcours, année de cursus, site de formation)
Bonjour, je m’appelle BERGIRON Olivia et j’ai actuellement 22 ans. J’ai obtenue ma licence STAPS Education et Motricité et je suis actuellement en MASTER MEEF second degré pour devenir professeur d’EPS. J’ai été formée dans l’académie de Reims.
Quelle était la principale motivation derrière ta décision de partir en mobilité ?
Ma maman étant Polonaise, j’ai toujours été plongée depuis ma plus tendre enfance à plusieurs nationalités. Les voyages m’ont toujours beaucoup intéressées. Je trouve que cela permet de développer beaucoup de qualités humaines et c’est donc ainsi que je souhaitais combiner ma passion pour le voyager et mon futur métier en enseignant à l’étranger.
Peux-tu nous expliquer pourquoi tu as choisi la Slovaquie comme lieu de stage ?
Grâce à Frédérique CASTEL (chargé de communication à l’international) j’ai pu postuler dans plusieurs pays. L’institut Français de Bratislava a été ma première réponse positive et mon envie de voyager était tellement puissante que j’ai accepté la première demande sans attendre les autres. Je fais beaucoup confiance au destin donc c’est ainsi que j’ai choisis ce lieu.
Quel était ton objectif professionnel pendant cette période de mobilité?
Ce stage à l’étranger a été vraiment très important pour moi car plus tard je souhaite enseigner l’EPS dans le monde entier dans des instituts Français à l’étranger. Cela m’a donc apporté beaucoup d’expérience.
Selon toi, quels bénéfices ce processus apporte-t-il à ta formation ?
Mon souhait le plus cher et de pouvoir enseigner à l’étranger et ce processus de mobilité à l’étranger m’a permis d’acquérir de l’expérience dans le fonctionnement d’un institut Français.
Penses-tu que cette expérience aura un impact positif sur ta future carrière ?
Bien-sûr ! Maintenant je suis sûre de moi, je sais exactement ce que je veux et je souhaite très sincèrement enseigner à l’étranger.
Quels conseils donnerais-tu à d'autres étudiants envisageant de partir en mobilité internationale ?
Ne réfléchissez pas trop et partez ! c’est la meilleure expérience que je n’ai jamais eu ! Voyager seul permet vraiment de se redécouvrir soi-même et comprendre ce que l’on recherche et ce que l’on veut pour nous plus tard. C’est une expérience vraiment très enrichissante sur tout les points de vue ! Ce que j’aime quand je voyage c’est pouvoir m’enrichir culturellement et découvrir de nouveaux endroits. Il faut savoir faire preuve d’adaptation et c’est également une expérience humanitaire formidable.