Les stress abiotiques affectent le développement des plantes en induisant des changements morphologiques, physiologiques, biochimiques et moléculaires. Or, la fréquence et l’intensité de ces stress seront aggravées par les changements climatiques. La performance des plantes face à ces stress peut être améliorée par la présence de microorganismes bénéfiques (MOB) mais cette protection est elle-même dépendante de facteurs environnementaux.
Notre objectif est d'étudier comment les stress abiotiques impactent l’immunité innée des plantes, lorsqu’elles sont infectées par des pathogènes ou stimulées par des éliciteurs (interaction avec l’axe 1) ou des MOB (interaction avec l’axe 2). Dans ce cadre, nous nous intéressons notamment au métabolisme carboné, fournisseur d’énergie et de molécules-signal pour cette immunité (mesure de la respiration et de la photosynthèse, fluorescence chlorophyllienne, métabolites et enzymes clefs…).