- Professeur des Universités en Histoire contemporaine
- Docteur en Histoire contemporaine
- Agrégé d'histoire
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- Docteur en Histoire contemporaine
- Agrégé d'histoire
En 1989, j’ai soutenu ma thèse de doctorat, publiée en 1993 (Les lendemains qui déchantent. Le PCF à la Libération, Presses de Sciences-Po) et l’histoire du communisme est demeurée ma spécialisation principale. Mais quelques élargissements de recherche ont été effectués, concernant la France pendant la Seconde Guerre mondiale (La joie douloureuse. La libération de la France, Complexe, 2004) ou l’iconographie historique (La guerre imaginée. L’historien et les images, Seli Arslan, 2002). Aujourd’hui, je scrute l’extrême gauche. En attendant un ouvrage de synthèse, j’ai publié quelques études parcellaires (« Inventing a Memory on the Extreme Left : The Example of the Maoists after 1968 », Julian Jackson, Anna-Louise Milne, James S. Williams (eds.), May 68. Rethinking France's Last Revolution, Basingstoke, Palgrave Macmillan, 2011 ; « The Pyrrhic Victory of the Radical Left », Gabriel Goodliffe, Ricardo Brizzi (eds.), France after 2012, Oxford-New York, Berghahn Books, 2015).
Dans le domaine académique, j’ai été membre du jury d’oral de l’agrégation externe d’histoire et professeur associé à la Luiss (Rome), à l’Institut universitaire européen (Florence) et à Sciences-Po (Paris). Je suis membre des comités de rédaction des revues scientifiques suivantes : Communisme, Le Mouvement social, la Revue française d’histoire des idées politiques.