une session intitulé : Cytométrie et bio-surveillance de l’environnement.

Le 8 novembre 2017 de 10:45 à 12:15

Résumé de la séssion:

Couramment utilisée en science biomédicale, la cytométrie en flux prend une part de plus en plus importante dans le domaine des sciences du vivant au sens large, sur des thématiques variées impliquant divers types cellulaires tels que les bactéries, les levures, le phyto/zoo-plancton ou encore des cellules issues d’invertébrés. Parmi ces différents champs disciplinaires, la cytométrie environnementale constitue une nouvelle approche d’étude des organismes au plus près de leurs interactions avec les variables écologiques et les stress environnementaux. Ses usages en écologie fonctionnelle, écophysiologie intégrative et en écotoxicologie sont de plus en plus nombreux et permettent de cerner le rôle des traits de vie physiologiques des organismes vivants dans leurs adaptations aux contraintes environnementales. La cytométrie permet de placer la cellule au cœur des interactions avec l’environnement, et d’identifier à la fois des marqueurs d’effet de la contamination environnementale (physique, chimique, biotique) mais aussi d’apporter des connaissances fondamentales sur des organismes globalement peu étudiés.

La session proposée permettra aux chercheurs impliqués dans ces différentes thématiques de présenter leurs travaux.

Cette session sera débutée par deux présentations :

Frank Le Foll (Le Havre) : Apports de la cytométrie dans la biosurveillance de l’environnement : la question des modèles biologiques et des biomarqueurs
Jonathan Colombet (Clermont-Ferrand): Utilisation de la cytométrie dans l’étude et la caractérisation du plancton lacustre

Associé à ces deux conférenciers, deux présentations orales sélectionnées de la soumission des résumés

Modérateurs : Stéphane Bétoulle (Reims) et Christian Müller (Strasbourg)

un atelier Analyse et tri de grandes particules

le 7 novembre 2017 de 14:00 à17:30

Animateurs : Damien Rioult (Reims) et Rico Bongaarts (Belgique)